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Plusieurs théories et beaucoup d'opinions ont été avancées sur les meilleurs moyens d'élever des enfants. Les théories sont influencées par les contextes historiques et culturels ainsi que par les idéologies sur l'enfance. Succédant aux écrits de John Locke en au Royaume-Uni, qui prône l'éducation et la discipline raisonnée, et de Jean-Jacques Rousseau qui au contraire condamne l'intervention excessive des adultes dans la vie enfantine, nombre de philosophes, puis éducateurs, médecins psychiatres, psychologues ou journalistes-écrivains ont publié leurs opinions sur les conduites parentales qu'ils pensaient optimales pour le développement de l'enfant.
La psychanalyse, les recherches sur l'attachement, puis les recherches empiriques des premiers psychologues du développement ont mis en évidence des relations systématiques entre l'affection parentale et le contrôle parental, d'une part, et les comportements et réussites ultérieurs des enfants d'autre part. Les travaux de Diana Baumrind, débutés dans les années 1960, et la typologie mise en évidence, complétée par Maccoby et Martin (), sont les plus souvent cités. Selon Baumrind, les parents qui offrent à leurs enfants suffisamment de soutien et d'indépendance tout en faisant preuve d'une certaine fermeté (ou contrôle) de leurs comportements, ont des enfants qui ont de meilleurs résultats dans plusieurs domaines.
Réseau de neurones simple.
« Le soin de l’âme est essentiel à la santé psychologique ; la croissance spirituelle n’est pas une option qu’on peut prendre ou délaisser. Comme le corps, notre âme a besoin de soins. Mais nous vivons dans une société qui ne s’occupe pas des âmes. »
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David N. Elkins, Beyond Religion (1998)
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Un symptôme représente une des manifestations subjectives d'une maladie ou d'un processus pathologique, tel qu'exprimé par le patient. En général, pour une pathologie donnée, les symptômes sont multiples, elle peut même ne pas présenter de symptôme : elle est dite dans ce cas asymptomatique. Inversement, un même symptôme peut très souvent être attribué à différentes maladies : on ne peut donc conclure automatiquement d'un symptôme (par exemple, avoir mal à la gorge) à une maladie (par ex., la grippe) ; c'est commettre le sophisme de l'affirmation du conséquent.
Ils s'opposent aux signes cliniques, qui sont des manifestations objectives de la maladie, relevées par le médecin.
Les symptômes sont donc pour le patient les éléments d'alerte d'un processus pathologique en cours, motivant ainsi le recours à une consultation médicale permettant d'objectiver la plainte en retrouvant des signes, qui, rassemblés en syndrome puis en maladie, permettront de guider l'attitude thérapeutique.