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L'usage des produits de protection des plantes permet d'assurer la qualité des produits et de limiter les pertes de rendement, plus importantes en l'absence de traitement. À titre d'exemple, on a estimé dans le cas du blé pour une production mondiale de 564 millions de tonnes (période 2001-2003) la perte due aux bioagresseurs à environ 394 Mt avec les traitements, très variables, pratiqués dans les diverses parties du monde, tandis qu'en l'absence de tout traitement la perte était évaluée à 534 Mt. Ces chiffres représentent, respectivement, 28,2 % et 49,8 % de la production « atteignable », celle-ci étant définie comme le maximum technique spécifique à chaque site de production, en fonction des conditions de croissance abiotiques (climat, latitude, sol, etc.), qui est en général bien inférieur au potentiel de rendement de la variété cultivée[2],[3].
Ces produits font partie, avec les biocides, de la famille des pesticides[4]. En Europe et dans la plupart des pays, ils doivent être homologués, et autorisés pour un ou plusieurs usages (qui peuvent varier selon les époques ou les pays).
Leur usage est en augmentation en France (+ 12 % en 2017), essentiellement dans l’agriculture[5].
↑(en) Erich-Christian Oerke, « Crop losses to pests », Journal of Agricultural Science, Cambridge University Press, vol. 144, , p. 31–43 (DOI10.1017/S0021859605005708, lire en ligne).
↑(en) Rolando Cerda, Assessment of yield and economic losses caused by pests and diseases in a range of management strategies and production situations in coffee agroecosystems (thèse), Montpellier SupAgro - école doctorale GAIA, (lire en ligne).
↑Didier Bourguignon, Politique et législation de l'UE sur les pesticides - Produits phytopharmaceutiques et biocides, EPRS | Service de recherche du Parlement européen, , 32 p. (ISBN978-92-846-0951-2, lire en ligne), p. 1.
↑« Des points d’eau ont été effacés des cartes IGN pour ne pas avoir à les protéger des pesticides », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).